Ecrit le 07 juin 2017
Ni haine ni hainophobie, interdit de punir.
J’appelle hainopobie, la peur panique et maladive d’être atteint par la haine, d’être mû par elle.
L’Europe aujourd’hui est comme envoutée sous l’emprise de cette phobie, phobie au sens médical.
Une phobie fait agir de manière irrationnelle et contradictoire sous l’emprise d’une peur paralysante.
Les Européens refusent d’empêcher le crime et la propagation de l’idéologie criminelle par peur d’être racistes.
Narcissiques, leur image d’eux-mêmes compte avant toute autre chose, avant les vies humaines.
Cupides, ils sont prêts à écouter tout ce qui les conforte dans leur désir de profiter des étrangers.
Paresseux et arrogants, ils n’ont cure d’étudier réellement les cultures des étrangers.
Suicidaires, rendus fous par ce récit fantasmatique qui les décrit contre des monstres sanguinaires, ils sont prêts à mourir, plutôt que de commettre le moindre acte ou d’avoir la moindre pensée pouvant nuire à leur image d’eux-mêmes.
La terreur de ne pouvoir échapper à un sentiment de haine les pétrifie.
Les plus grands leaders d’opinion, les plus hautes autorités morales, criminellement, les confortent dans l’idée que nul ne peut échapper à la haine.
La haine et la mort ont donc le champ libre.
Les Européens se laissent tuer, tuent leurs enfants, et tuent aveuglément pour préserver leur image d’eux même et leur pouvoir.
La victime d’une violence volontaire est toujours doublement victime. Victime de la violence. Victime du combat contre la haine.
Combat qu’il faut mener, combat qu’il est possible de remporter.
« Il est difficile de se garder de la haine » écrit Elena Tchoudinova, dans son interview .
Difficile mais nullement impossible, comme l’a montré Maîti Girtanner, dans les circonstances les pires que l’on puisse imaginer ou presque.
La haine contre les personnes n’est jamais justifiée.
Jamais.
L’instinct de survie est nécessaire. La lutte par la force contre la force est nécessaire. L’organisation plus rationnelle de cette lutte est nécessaire.
Le droit fondamental à l’intégrité exige le risque zéro pour les victimes et les forces de l’ordre. Les victimes ont le droit d’employer toute la force nécessaire pour que leur intégrité physique soit totale et entière.
La hainophobie la plus folle mène aujourd’hui certains juges à exiger que les attaques soient des duels à « armes égales », la victime risquant alors autant de blessures que son agresseur.
Mais nulle vengeance, nulle haine n’est admissible.
Nul besoin de haine pour pleurer les victimes ou compatir.
Nul besoin de haine pour organiser une protection contre la violence.
Nul besoin de haine pour répondre aux arguments des idéologies prônant la violence et la haine.
A l’évidence, toute haine, toute vengeance, toute réponse au mal par le mal, ne fait que perpétuer le mal.
Je prône l’interdit de punir. J’affirme l’absurdité de la punition. Infliger un mal parce qu’un mal a été commis est un non sens. La vengeance publique n’est pas plus respectable que la vengeance privée. Elle n’est que haine, fondamentalement. Sacrifice humain.
Une société qui affirme « Vous n’aurez pas ma haine » est une société qui veut la vie.
Une société qui se contente d’affirmer « Vous n’aurez pas ma haine » en s’interdisant de voir d’où vient cette haine, donc en s’interdisant d’empêcher la violence, est une société assassine.
J’appelle hainopobie, la peur panique et maladive d’être atteint par la haine, d’être mû par elle.
L’Europe aujourd’hui est comme envoutée sous l’emprise de cette phobie, phobie au sens médical.
Une phobie fait agir de manière irrationnelle et contradictoire sous l’emprise d’une peur paralysante.
Les Européens refusent d’empêcher le crime et la propagation de l’idéologie criminelle par peur d’être racistes.
Narcissiques, leur image d’eux-mêmes compte avant toute autre chose, avant les vies humaines.
Cupides, ils sont prêts à écouter tout ce qui les conforte dans leur désir de profiter des étrangers.
Paresseux et arrogants, ils n’ont cure d’étudier réellement les cultures des étrangers.
Suicidaires, rendus fous par ce récit fantasmatique qui les décrit contre des monstres sanguinaires, ils sont prêts à mourir, plutôt que de commettre le moindre acte ou d’avoir la moindre pensée pouvant nuire à leur image d’eux-mêmes.
La terreur de ne pouvoir échapper à un sentiment de haine les pétrifie.
Les plus grands leaders d’opinion, les plus hautes autorités morales, criminellement, les confortent dans l’idée que nul ne peut échapper à la haine.
La haine et la mort ont donc le champ libre.
Les Européens se laissent tuer, tuent leurs enfants, et tuent aveuglément pour préserver leur image d’eux même et leur pouvoir.
La victime d’une violence volontaire est toujours doublement victime. Victime de la violence. Victime du combat contre la haine.
Combat qu’il faut mener, combat qu’il est possible de remporter.
« Il est difficile de se garder de la haine » écrit Elena Tchoudinova, dans son interview .
Difficile mais nullement impossible, comme l’a montré Maîti Girtanner, dans les circonstances les pires que l’on puisse imaginer ou presque.
La haine contre les personnes n’est jamais justifiée.
Jamais.
L’instinct de survie est nécessaire. La lutte par la force contre la force est nécessaire. L’organisation plus rationnelle de cette lutte est nécessaire.
Le droit fondamental à l’intégrité exige le risque zéro pour les victimes et les forces de l’ordre. Les victimes ont le droit d’employer toute la force nécessaire pour que leur intégrité physique soit totale et entière.
La hainophobie la plus folle mène aujourd’hui certains juges à exiger que les attaques soient des duels à « armes égales », la victime risquant alors autant de blessures que son agresseur.
Mais nulle vengeance, nulle haine n’est admissible.
Nul besoin de haine pour pleurer les victimes ou compatir.
Nul besoin de haine pour organiser une protection contre la violence.
Nul besoin de haine pour répondre aux arguments des idéologies prônant la violence et la haine.
A l’évidence, toute haine, toute vengeance, toute réponse au mal par le mal, ne fait que perpétuer le mal.
Je prône l’interdit de punir. J’affirme l’absurdité de la punition. Infliger un mal parce qu’un mal a été commis est un non sens. La vengeance publique n’est pas plus respectable que la vengeance privée. Elle n’est que haine, fondamentalement. Sacrifice humain.
Une société qui affirme « Vous n’aurez pas ma haine » est une société qui veut la vie.
Une société qui se contente d’affirmer « Vous n’aurez pas ma haine » en s’interdisant de voir d’où vient cette haine, donc en s’interdisant d’empêcher la violence, est une société assassine.
Elisseievna
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